Sommaire
Comme tous les moyens de déplacement à deux-roues, les trottinettes subissent des impôts. C’est-à-dire que le propriétaire de ces véhicules doit payer des taxes à l’état pour avoir accès aux routes publiques. Toutefois, la question qui se pose est sur la sécurité de ses personnes qui utilisent cet outil de déplacement. Est-ce que les trottinettes sont-elles fiables et est-ce qu’elles sont couvertes par les assurances.
Un véhicule à tout risque pour le passager et ses tiers
Vu que la trottinette n’a pas de cape ou une couverture, la personne qui le guide doit accepter tous les risques envisageables sur les rues avec cet engin. Pour les jours de pluies, les travailleurs et les écoliers qui se déplacent avec ce véhicule doivent se préparer à tous les outils de protection vestimentaires surtout vis-à-vis de l’état des rues avec les flaques d’eau et les bouts partout. En cas de dérapage également en plein route, l’utilisateur de trottinette peut se blesser, et même toucher une autre personne que lui et à qui il doit offrir des dédommagements, et même des soins en cas de blessure. À noter que le site :www.fridaybikeday.be est dédié aux fans de ce véhicule.
La trottinette est un véhicule non assuré
Malgré le taux de risque d’accident que peut provoquer le déplacement à trottinette, les compagnies d’assurances n’ont pas encore décidé d’offrir une couverture pour ce véhicule. Ce qui veut dire que le particulier qui se déplace avec une trottinette est le seul responsable de tous les inconvénients et les réparations ou les interventions nécessaires sur l’accident relié à son moyen de déplacement. Si un mineur se blesse donc pour avoir roulé avec cet engin vers son établissement scolaire, c’est à ses parents de se charger de ses frais de consultation et de ses pansements. Par contre dans le cas où l’enfant est responsable d’un accident de rue, ces parents vont être obligés de payer des amendes pour raison de conduite de véhicule sans permission de conduire et non assuré et qui risque la sécurité d’une tiers personne à part les charges sanitaires qu’ils doivent verser à la personne blessée.